SYMBIOSE - Re-connexion à Soi

SYMBIOSE - Re-connexion à Soi

LE TEMPS FRACTAL par Gregg Braden

  Gregg Bradden

 

 

 

Que cherchent réellement à nous communiquer les pictogrammes hopis, le calendrier maya, le code de la Bible et les autres importants messages du passé ?

 

 

Est-il possible qu’en choisissant une certaine manière d’être, nous puissions effectivement changer notre façon d’expérimenter les choses, comme les terrifiants événements prédits pour 2012 ?

 

 

Alors que plusieurs découvertes récentes nous montrent comment la conscience influe directement sur le monde physique, elles sont généralement des variations d’une expérience élaborée il y a près d’un siècle dans le but de découvrir dans quelle mesure nos croyances ont un effet sur la réalité – et elles apportent une réponse à notre question.

 

En 1909, le physicien britannique Thomas Young mit au point la fameuse expérience de la double fente, déclenchant ainsi une révolution dans la perception que nous avons de nous-mêmes. Ce que son expérience révéla, c’est qu’un observateur agit sur ce qui l’entoure juste en l’observant, influençant ainsi par sa seule conscience le comportement des particules quantiques dont l’univers entier est constitué.

 

Le 26 février 1998, des scientifiques de l’Institut Wiezmann en Israël répétèrent l’expérience de Young. Non seulement ont-ils pu alors confirmer que nous influençons l’univers qui nous entoure juste en l’observant, mais ils ont également découvert ceci : « Plus l’intensité d’observation est grande, plus l’influence de l’observateur sur ce qui se produit est importante. » En d’autres termes, plus le degré d’attention sur l’expérience par les personnes présentes est grand, plus l’influence de cette attention sur le résultat obtenu est notable.

 

Ceci nous permet de mieux comprendre ce que la physique quantique et le calendrier maya nous révèlent au sujet du pouvoir que nous avons sur l’univers qui nous entoure. De plus en plus de scientifiques sont parvenus à la même conclusion inévitable : tout ce qui existe tire son origine du royaume de l’énergie quantique. C’est ce même royaume qui est influencé par nos pensées, nos sentiments, nos émotions et nos croyances.

 

Dans cet espèce de « no man’s land » où toute chose est possible, les lois du temps et de l’espace ne semblent plus s’appliquer et sont remplacées par ce que les scientifiques appellent « l’étrangeté quantique ». C’est également là que les atomes de la matière tombent sous l’influence de la pensée, de l’émotion et de la croyance humaines pour devenir la réalité de notre monde.

 

  En 1957, le physicien Hugh Everett III de l’Université Princeton a poussé ces idées encore un peu plus loin en concevant la théorie qui explique comment l’attention focalisée de notre conscience crée la réalité. Dans un article mémorable présentant sa théorie des mondes multiples, Everett décrit de simples moments dans le temps où il devient possible de « sauter » d’une réalité à une autre en créant un pont quantique entre deux possibilités préexistantes. Il appelle ces possibilités des « points de choix » et explique que ce sont des moments où les conditions permettent de commencer à suivre un chemin d’expérience et puis d’en prendre un autre en centrant notre attention ailleurs, notamment en changeant nos croyances.

Selon cette perspective, le chaos, la souffrance et la destruction sont certainement possibles – et peut-être même probables – si le cours des événements humains demeure sur la même trajectoire qui a été établie près de deux siècles auparavant. La découverte de ces points de choix nous donne la possibilité de modifier cette trajectoire.

 

Cela est une bonne nouvelle compte tenu des scénarios peu rassurants qui se dessinent pour 2012. De fait, aux yeux de ceux qui comprennent que la répétition cyclique d’un événement déclencheur nous indique quel est le meilleur moment pour modifier une séquence d’événements indésirables, la transition de 2012 semble plutôt avoir du bon autant que du mauvais. Ils savent qu’ils participeront à la naissance d’un monde nouveau et merveilleux, mais aussi qu’ils seront témoins de la fin de tout ce qui est incompatible avec ce monde nouveau. Bien que tout moment soit le bon pour effectuer des choix positifs dans notre vie, c’est comme si toute la nature conspirait pour créer, lors du point de choix de 2012, les conditions parfaites pour faciliter ces choix et ces changements.

 

Ce qu’il faut souligner ici, c’est que nous avons tendance à éprouver surtout les choses auxquelles nous nous identifions le plus. Autrement dit, même si la maladie et la guérison coexistent, nous aurons le sentiment que cette dernière domine si c’est vers elle que va toute notre attention. Nous nous sommes entraînés à faire cela durant toute notre vie. Nous avons tous su profiter du fait que nous avions une famille, un emploi, des amis et une idylle amoureuse alors même que la souffrance et les tragédies de toutes sortes déchiraient le monde. Que ce soit durant la Deuxième Guerre mondiale ou lors de la guerre du Viêt-nam, ou encore tandis que la violence faisait rage en Irak et en Afghanistan, ceux d’entre nous qui n’étaient pas directement concernés par ces événements ont continué leurs routines habituelles pendant que d’autres perdaient la vie dans ces conflits. Ces deux réalités coexistaient et nous avions conscience des deux.

 

Toutefois, chaque matin lorsque nous nous levons et préparons notre petit déjeuner, notre attention se porte surtout sur ce que nous ferons de notre journée, plutôt que sur ce qui arrivera dans la vie des autres. Cette capacité de faire abstraction de certaines choses semble être le secret pour arriver aussi à survivre aux périodes de grands bouleversements dans l’histoire de l’humanité. Si nous pouvons nous identifier aux changements positifs qui surviennent localement, tout en faisant ce qui est en notre pouvoir pour aider les autres globalement, nos choix individuels deviennent alors notre centre d’attention collectif face à tout ce que 2012 pourra nous apporter.

 

 

Notre « goulot » de changement

 

En 2005, le magazine Scientific American a publié une édition spéciale, s’intitulant « La planète Terre à la croisée des chemins », qui identifiait un certain nombre de scénarios possibles, dont notamment ceux mentionnés dans ce livre, lesquels, si rien n’était fait pour les modifier, avaient le potentiel de mener à la fin de la vie telle que nous la connaissons aujourd’hui sur Terre. Par l’entremise de différents essais et rapports, les experts consultés y présentent de manière convaincante un seul et simple fait : notre civilisation ne peut continuer sur la même voie de concurrence violente, d’économie en perpétuelle expansion, d’épuisement ininterrompu des ressources, et d’émissions croissantes de gaz à effet de serre contribuant aux changements climatiques que nous avons subis au cours des 100 dernières années.

 

La convergence de tant de problèmes survenant en si peu de temps est ce que le biologiste Edward O. Wilson de l’Université Harvard appelle un « goulot d’étranglement » dans le temps. Le rédacteur en chef du magazine Scientific American George Musser caractérise le goulot de « Wilson comme « une période de stress maximum s’exerçant sur les ressources naturelles et sur l’ingéniosité humaine. » Ce que ce l’on retient surtout à la lecture de ce numéro spécial, c’est que bien que chacun de ces scénarios, pris isolément, soit déjà catastrophique, ils se produisent tous simultanément en ce moment même alors que nous sommes à la toute veille du changement massif prédit pour 2012.

 

 

Code temporel 19

 

Les plus grands esprits de notre époque s’entendent pour dire que l’épuisement accéléré des ressources naturelles, la croissance exponentielle de la population mondiale, la pauvreté globale et la compétition pour combler les besoins essentiels de chacun convergent pour former, au cours des années à venir, un véritable goulot d’étranglement.

 

Toutefois, avant même que nous ne prenions conscience de l’ampleur de tous ces problèmes énoncés, l’un des plus grands esprits du 20e siècle avait déjà proposé une solution alors qu’il lançait un avertissement retentissant. Reconnaissant le fait que notre civilisation suivait une trajectoire d’expansion rapide, de consommation effrénée des ressources naturelles et d’écarts économiques grandissants qui ne pouvaient absolument pas être viables à long terme, Albert Einstein avait formulé ce qui est l’évidence même en une seule phrase percutante. « Nous avons besoin d’une nouvelle façon de penser pour que l’humanité survive. » Nous ne saurons jamais si les conditions observées dans le monde aujourd’hui correspondent à ce qu’Einstein avait en tête lorsqu’il a fait cette remarque prophétique.

 

De toute manière, le nombre très élevé de crises auxquelles nous faisons face et l’ampleurde leurs conséquences constituent une indication claire que nous fonçons vers un point de convergence où quelque chose devra forcément changer. Si rien n’est fait pour éviter le pire, notre monde tout entier pourrait devoir traverser une période d’effondrements et de souffrances tel que décrit dans de nombreuses prophéties.

Pour ceux qui vivront durant cette période, elle pourrait fort bien ressembler à l’Armageddon dont il est question dans la Bible. Mais tant ce que disent les prédictions que le simple bon sens nous rappellent qu’aucune de ces choses n’est inévitable. Même s’il y a bien longtemps que le jardin d’Éden n’existe plus, conscients désormais de ce qui s’est produit à la fin des précédents âges du monde, nous pouvons transformer même les possibilités les plus sombres et semer les graines d’un second jardin d’Éden.

 

Grâce aux différents modèles scientifiques dont nous disposons et éclairés par les anciennes prophéties, nous pouvons désormais comprendre ce qui nous attend si nous ne changeons rien, et identifier les possibilités s’offrant à nous de créer un monde différent. Nous savons désormais que des changements profonds sont devenus nécessaires dans nos relations avec la Terre, avec nos semblables et avec nous-mêmes. Nous reconnaissons que si nous voulons survivre, tout doit changer, depuis notre mode de vie jusqu’à l’usage que nous faisons de ressources qui disparaissent à vue d’ œil. C’est précisément en raison de la capacité que nous avons d’anticiper les conséquences destructrices de notre mode de vie actuel et de reconnaître que d’autres choix s’offrent à nous que les mouvements prônant un mode de vie holistique et durable de même que les industries vertes ont connu un tel essor depuis quelques années.

 

Que peut-on donc conclure de tout cela relativement à ce que nous réserve

l’an 2012 ?

Courons-nous à la catastrophe ou bien allons-nous vers un millénaire de paix ?

Vivrons-nous l’Armageddon, un nouvel Éden, ou peut-être même les deux ?

La vérité est que personne ne le sait vraiment.

Même si des éruptions solaires et des inversions magnétiques se sont bel et bien produites dans le passé et que nos ancêtres y ont survécu, de tels changements ne sont jamais survenus alors que 6,5 milliards de personnes vivaient sur Terre. Ils ne sont certainement jamais arrivés alors que tant de gens dépendent des réseaux de transmission électrique, des communications sans fil, des ordinateurs et des systèmes globaux de navigation par satellite.

Personne n’a la moindre idée de l’ampleur des conséquences de pannes généralisées et prolongées de tous ces systèmes; personne ne sait comment nous ferions face à un tel défi ; et personne ne peut dire quelles seraient les répercussions d’une aussi monumentale épreuve sur notre vie, nos émotions et notre santé.

 

Nous savons toutefois que des humains ont vécu jadis de tels changements cycliques. Bien que les récits bibliques et les anciennes traditions orales ne laissent pas de doute quant au caractère exceptionnel de telles périodes, le fait est que des humains ont pu y survivre pour raconter ce qui s’est passé, et que leurs récits se sont rendus jusqu’à nous. De nouvelles découvertes en physique quantique liant une focalisation sur le cœur avec ce qui se passe dans le monde révèlent que la façon dont nous vivrons cette période de transition dépend largement de notre attitude intérieure. Les résultats de ces recherches sont concluants. Ce que nous ressentons face à ces expériences a un effet direct sur ce que nous créons.

 

 

Code temporel 20

 

Les résultats de ces recherches sont concluants : le fait de nous concentrer sur le cœur et de vivre dans l’amour aura un effet direct sur la manière dont nous vivrons la période de transition de 2012.

 

Pour notre rendez-vous avec 2012, il semblerait donc que si nous ne cessons de penser à tout ce qui pourrait mal aller, nous risquons alors de passer à côté des expériences de vie permettant justement d’empêcher ce genre de choses d’arriver. Inversement, si nous reconnaissons le pouvoir que nous confère une focalisation sur le cœur et l’amour, et comprenons que ce pouvoir individuel peut être combiné à celui des autres pour former une vague d’amour collective capable d’influencer directement les forces de vie sur Terre, nous pourrions bien découvrir que les visions encourageantes sur ce qui se produira après l’an 2012 sont plus que de simples métaphores. Nous aurons alors appris que nous avons littéralement le pouvoir de créer ensemble un nouveau monde absolument magnifique.

 

Ce qu’il nous faut absolument comprendre, c’est que le seul moyen d’y arriver est d’unir nos forces. Or voici qu’un important nouveau projet, basé sur une découverte non moins importante, nous ouvre justement la voie pour réaliser précisément cet objectif.

 

 

Lier les cœurs grâce à un état de cohérence globale

 

Bien qu’il nous en reste encore beaucoup à apprendre au sujet de la conscience, il y a une chose dont nous sommes certains: elle est une forme d’énergie de nature magnétique. Nous pourrions étudier la nature magnétique de la conscience pendant encore cent ans sans parvenir à dévoiler tous ses mystères. Toutefois, nous pouvons nous servir de ce que nous avons appris jusqu’ici afin de mieux nous adapter aux conditions d’un monde en rapide transformation.

De plus en plus de données semblent désormais indiquer que le champ magnétique de la Terre joue un rôle déterminant pour nous relier les uns aux autres, ainsi qu’avec la planète.

 

En septembre 2001, deux satellites environnementaux opérationnels géostationnaires (acronyme anglais: GOES) ont détecté une augmentation soudaine du magnétisme global qui changea à jamais la perception que les scientifiques avaient de notre monde et de nous. Tant le satellite GOES-8 que le GOES-10 détectèrent alors une hausse subite et marquée de la force du champ magnétique terrestre ainsi qu’en témoignaient les données transmises au sol toutes les 30 minutes. Ce fut l’amplitude des maxima d’intensité magnétique et le moment où ils se produisirent qui capta d’abord l’attention des scientifiques.

 

Positionné à une altitude de 36 000 kilomètres au-dessus de l’équateur, le satellite GOES-8 détecta le premier maxima, qui fut suivi d’une tendance à la hausse des lectures transmises qui plafonnèrent à une mesure de presque 50 unités (nanoteslas) plus élevées que tout ce qui avait été enregistré jusque-là. Il était alors 9 heures du matin (heure normale de l’Est), soit 15 minutes après que le premier avion eût percuté l’une des deux tours du World Trade Center, et environ 15 minutes avant l’impact du deuxième avion sur la deuxième tour.

 

 

  La corrélation entre ces événements et les lectures était pour le moins troublante. Et elle était incontestable. À la lumière de ces données, deux questions devaient être posées : Y avait-il vraiment un lien entre les attaques contre le World Trade Center et les données transmises par les satellites ? Si oui, quel était-il ? C’est la réponse à la seconde question qui déclencha les recherches, ainsi que l’ambitieuse initiative qui les suivit.

 

Des études menées quelque temps après par des chercheurs de l’Université Princeton et de l’Institut HeartMath – une institution innovatrice à but non lucratif créée en 1991 qui fut l’une des premières à faire de la recherche et du développement dans le domaine des technologies fondées sur les émotions émanant du cœur – ont permis de confirmer que la corrélation entre les données transmises par ces 2 satellites et les événements du 11 septembre n’est pas une simple coïncidence.

Après avoir constaté que ces satellites avaient enregistré des maxima similaires lors d’événements passés, lesquels avaient suscité beaucoup d’émotions dans le monde entier, comme la mort de la princesse Diana, le facteur qui semblait être l’élément commun entre eux était clair : tout indiquait qu’il s’agissait du cœur humain.

Plus particulièrement, c’était l’émotion alors suscitée dans la population mondiale par ces événements qui semblait influencer le champ magnétique terrestre. Ce qui rend cette découverte si impressionnante, c’est que nous savons maintenant qu’il existe un lien entre ce champ magnétique et un tas de choses comme la stabilité du climat et la paix entre les nations.

 

Parmi les conclusions auxquelles les chercheurs sont parvenus, il y a deux découvertes qui donnent un tout nouveau sens à ce que les satellites ont détecté le 11 septembre 2001:

 

 

Première découverte : Le fait que le cœur humain génère le plus fort champ magnétique dans le corps, soit près de 5000 fois plus intense que celui émis par le cerveau, est maintenant bien documenté. Ce champ se manifeste sous la forme d’un anneau s’étendant bien au-delà du corps physique et qui a été mesuré à des distances variant entre deux et trois mètres du cœur physique. Certaines données laissent cependant croire que ce champ est si grand qu’il peut s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres autour de nous. Toutefois, l’équipement de détection disponible aujourd’hui ne permet pas de détecter sa présence aussi loin.

Implication :   

Le champ magnétique du cœur réagit à la qualité des émotions que nous suscitons dans nos vies. Tout comme le lien intuitif entre les sentiments et le corps semble le suggérer, les émotions positives accentuent l’équilibre hormonal et la stabilité du rythme cardiaque, ainsi que la lucidité et la productivité. Des études ont par ailleurs démontré que les émotions négatives peuvent influencer jusqu’à plus de 1.400 processus biochimiques dans le corps et entraîner notamment un déséquilibre hormonal, de l’arythmie cardiaque, de la confusion mentale et un faible rendement au travail !

 

Deuxième découverte : Certaines couches de l’atmosphère terrestre, tout autant que la Terre elle-même, génèrent ce que l’on appelle une « symphonie de fréquences » (variant entre 1 et 300 hertz), dont certaines coïncident avec celles engendrées par le cœur lorsqu’il communique avec le cerveau. Cette relation apparemment ancienne et presque holistique entre le cœur humain et le magnétisme terrestre a donné naissance à une élégante théorie – et au projet qui l’explore. Ainsi que l’expliquent les chercheurs de l’Institut HeartMath, le rapport existant entre le cœur humain et le champ magnétique semble indiquer que « de puissantes émotions collectives exercent un impact mesurable sur le champ géomagnétique de la Terre ! »

 

Implication : Si nous pouvons apprendre le langage du cœur celui-là même auquel le bouclier magnétique de la Terre réagit – alors nous pourrons jouer un rôle actif dans les effets que ce champ exerce sur toute vie. C’est là où une idée aux allures futuristes récemment avancée devient encore plus excitante. Ces fluctuations du champ magnétique terrestre liées aux émotions humaines ont été associées à des changements dans l’activité du cerveau et du système nerveux, ainsi que dans la mémoire et les performances athlétiques. Elles ont également un effet sur la capacité des plantes à créer les nutriments vitaux dont elles ont besoin; sur le taux de mortalité humaine due à des problèmes cardiaques; et sur les variations dans le nombre de cas rapportés de dépression et de suicide – pour ne nommer que ceux-là.

 

Ces deux découvertes ont ouvert la porte à une toute nouvelle compréhension de notre relation avec la Terre. Désormais, la question que l’on se pose n’est plus « les émotions humaines collectives exercent-elles un effet sur la 1ère » ? mais plutôt « pourquoi ne serait-ce pas le cas » ? Si une proportion suffisamment importante de la population humaine devait focaliser son champ magnétique sur la même émotion au même moment, il est manifestement clair qu’une telle concentration d’énergies magnétiques aurait un effet sur la partie de la planète qui vibre aux mêmes fréquences que les émotions humaines.

 

 La relation est évidente :

Tout changement dans ce que nous ressentons à propos de nous-mêmes et de notre monde pourrait bien avoir un effet sur ce dernier.

S’il s’agit d’un changement positif, alors l’effet sur les émotions devrait également être positif. On sait que de tels changements peuvent engendrer un état de cohérence entre le cœur et le cerveau, et il semble maintenant que cet effet peut même s’étendre aux champs magnétiques dont dépend toute vie sur notre planète. Comme l’expliquent les chercheurs de l’Institut HeartMath,

« Le contrôle des émotions est la nouvelle frontière de l’évolution humaine! »

 

La découverte du fait que nous pouvons choisir de créer davantage de cohérence entre nous et le champ magnétique de la Terre a débouché sur le lancement de l’une des plus ambitieuses initiatives scientifiques de l’histoire. Ce projet est d’une ampleur sans précédent et ses implications sont énormes.

Face aux défis de notre époque, ce nouveau projet, baptisé « Initiative pour la cohérence globale « , donne désormais à toute personne la possibilité d’apprendre le langage de la cohérence du cœur. Grâce à cette initiative, plus de gens que jamais auparavant peuvent participer aux changements en cours sur la planète.

 

Les deux principaux objectifs de cet organisme sont les suivants :

En partenariat avec le Dr. Elizabeth Rauscher, une astrophysicienne et scientifique nucléaire de renommée internationale, l’Institut HeartMath a établi un système de suivi de la cohérence globale, fonctionnant à l’aide d’une série de nouveaux senseurs déployés autour du monde afin de mesurer les changements survenant dans la magnétosphère terrestre. Ce système vise à déterminer dans quelle mesure le champ magnétique terrestre influence notre rythme cardiaque, notre activité cérébrale, notre degré de stress et nos émotions. Les études préliminaires, comme celles des données provenant des satellites GOES, semblent indiquer que cette influence est mutuelle. C’est ici qu’entre en jeu la deuxième partie du projet.

 

Comme toute forme de vie sur Terre subit l’influence des fluctuations d’intensité du champ magnétique terrestre, et que ce dernier est à son tour influencé par la vie, les chercheurs de l’Institut HeartMath se sont donné comme second objectif d’enseigner à certaines personnes comment parvenir à un niveau de cohérence intérieure susceptible d’améliorer leur bien-être, et comment identifier s’ils ont réellement atteint un tel état de cohérence. L’hypothèse à la base de ce projet est la suivante: lorsqu’un grand nombre de personnes réagissent à l’annonce d’un événement potentiellement destructeur, tel un ouragan ou un tsunami, en éprouvant le même genre d’émotion, cela peut avoir une incidence sur la qualité du champ d’énergie qui nous unit tous.

 

Tout comme le stress éprouvé lors d’un désastre naturel peut créer une onde globale incohérente, une onde émotionnelle positive peut engendrer une onde globale cohérente. Cette hypothèse est confirmée par les résultats des recherches menées à l’Institut HeartMath, ainsi que par les conclusions auxquelles sont parvenus les chercheurs de l’Université Princeton, engagés depuis 10 ans dans le Projet sur la conscience globale. Les données obtenues grâce aux travaux menés à l’Université Princeton ont démontré de façon incontestable que des émotions humaines ressenties à grande échelle peuvent susciter des effets d’envergure mondiale que l’on peut mesurer à l’aide d’un vaste réseau de senseurs électroniques.

 

Pour bien mettre en contexte l’importance de ces recherches, il nous suffit de considérer notre compréhension des grands cycles et de la place que nous occupons à la toute fin d’un grand cycle du monde. Ce n’est sans doute pas un hasard si cette initiative visant la cohérence globale existe aujourd’hui alors que nous venons d’entrer dans le 21 e siècle. C’est maintenant, à la toute fin d’un âge du monde, que les experts nous avertissent que nous faisons face au plus grand nombre de défis d’envergure mondiale depuis le début de l’histoire connue de l’humanité il y a 5.125 ans.

 

  Il apparaît en outre que certaines de ces crises risquent

bien de mettre fin à la vie sur Terre telle que nous la connaissons. Or, nous constatons au même moment que nous possédons la faculté innée d’harmoniser nos corps avec le champ magnétique du globe dont dépend toute vie, de telle sorte que nous pouvons atténuer en bonne partie les souffrances que ces défis risquent d’occasionner.

Et pour y arriver, il nous suffit d’apprendre et de maîtriser l’usage du langage silencieux du cœur.

 

 

Code temporel 21

 

Confrontés au plus grand nombre de défis d’envergure mondiale depuis le début de l’histoire connue de l’humanité il y a 5.125 ans, nous découvrons aujourd’hui que la clé d’une transition en douceur vers le prochain âge du monde se trouve au cœur même de ce que nous éprouvons collectivement face à ce grand changement.

 

Quelle extraordinaire convergence de circonstances ! Pour faciliter la transition en 2012 vers un nouvel âge du monde, il nous suffit de changer tous ensemble les sentiments que nous éprouvons à l’égard de ce qui se passe aujourd’hui dans le monde. Nous ne pouvions souhaiter meilleur scénario.

 

L’initiative pour la cohérence globale est d’une importance vitale pour la santé et l’avenir de notre monde. Pour la première fois, nous avons la capacité, la raison et la technologie nécessaires pour transcender tout ce qui nous sépare depuis si longtemps et collaborer ensemble à inspirer des millions de personnes à participer collectivement à un événement décisif dans notre histoire. À tout le moins, ce projet offre la possibilité de transcender les frontières géographiques, culturelles et religieuses traditionnelles afin d’unifier l’ensemble de la communauté humaine autour d’une nouvelle manière de vivre centrée sur des choix guidés par l’amour, et capables de promouvoir une cohérence d’esprit globale.

 

 

La signification des Codes temporels

 

Au fil des précédents chapitres, nous avons exploré les mystères entourant le rapport que nous avons avec le temps et la réalité, ainsi que les plus récentes découvertes à ce propos. Dans chaque chapitre, j’ai mis en lumière les idées principales permettant de mieux comprendre chaque sujet abordé. Ces idées sont sommairement récapitulées ci-dessous dans l’ordre où elles ont été présentées dans ce livre. Prises individuellement, elles offrent un intérêt certain et permettent de se remémorer les éléments importants de chaque chapitre. Prises dans leur ensemble, elles brossent un tableau complet de notre relation au temps, des grands cycles du monde et du mystère qui entoure l’an 2012.

 

Tout comme l’Annexe A décrit la façon dont un algorithme peut servir de base au fonctionnement de codes informatiques, les clés qui suivent peuvent être vues comme des codes définissant notre relation au temps de manière éloquente, pratique et facile à saisir. Comme pour tout code, il y a une raison précise qui justifie l’ordre dans lequel ces clés sont présentées. Dit simplement, tout comme le mode d’emploi fourni pour effectuer le changement d’huile d’une voiture fonctionne si l’on respecte l’ordre à suivre indiqué, ces clés pour mieux comprendre le temps, les cycles et l’importance de l’année 2012 ne peuvent être assimilées que si l’on s’assure de bien comprendre chacune d’elles avant de passer à la suivante.

 

C’est donc pour cette raison que je vous invite à considérer un à un les Codes temporels suivants. Prenez le temps de bien les analyser jusqu’à ce que leur sens soit parfaitement clair pour vous. Ces codes peuvent vous fournir les points de repère nécessaires pour accueillir calmement les changements anticipés pour 2012 et les années qui suivront.

 

 

Récapitulation des Codes temporels de ce livre

 

Code temporel 1 :

Nous vivons les derniers moments d’un cycle de 5125 ans – d’un âge du monde – qui, selon les calculs faits par les anciens Mayas, est censé se terminer lors du solstice d’hiver du 21 décembre 2012.

 

Code temporel 2 : Nos ancêtres nous ont transmis le récit de ce qu’ils ont vécu lors de la dernière « fin des temps « , démontrant ainsi clairement que la fin d’un âge du monde est le commencement d’un nouvel âge, et non la fin du monde.

 

Code temporel 3 : De récentes découvertes scientifiques révèlent que l’on peut considérer le temps essentiellement de la même façon que les rythmes et les cycles qui régissent tout ce qui existe, depuis les plus infimes particules jusqu’aux plus vastes galaxies.

 

Code temporel 4 : Nous pouvons concevoir les choses qui arrivent dans le continuum temporel comme étant des endroits à l’intérieur de cycles – des points que l’on peut mesurer, calculer et prédire.

 

Code temporel 5 : Si nous savons où nous en sommes rendus dans un cycle donné, nous savons alors à quoi nous attendre lorsque celui-ci se répète.

 

Code temporel 6 : Le Calculateur de codes temporels nous indique à quel moment nous pouvons nous attendre à ce que les circonstances du passé se répètent, mais il ne permet pas de déterminer quels événements précis se produiront.

 

Code temporel 7 : Selon d’anciennes traditions, le périple de 25 625 ans de la Terre à travers les 12 constellations du zodiaque – la précession des équinoxes – se divise en cinq âges du monde durant chacun 5125 ans.

 

Code temporel 8 : La position de la Terre relativement au centre de la galaxie est à l’origine d’importants changements signalant la fin d’un âge du monde et le début du suivant. Ce que l’on sait à propos de ces changements cycliques est connu sous le nom de doctrine des âges du monde.

 

Code temporel 9 : Selon la tradition védique, une période prolongée de profonde dévotion spirituelle se traduisant dans l’action (bhakti) débuta autour de 1898 et durera bien au-delà de l’année 2012, qui est censée marquer la fin de notre âge du monde selon le calendrier maya.

 

Code temporel 10 : L’âge du monde actuel débuta le 11 août 3114 av. J.-C. et il se terminera lors d’un rare alignement de notre système solaire avec le cœur de la Voie lactée, le 21 décembre 2012 – un événement qui, la dernière fois, s’est produit il y a environ 26 000 ans.

 

Code temporel 11 : La nature se sert de quelques motifs répétitifs autosimilaires – les fractales – afin de façonner l’énergie et les atomes, donnant ainsi forme à tout ce qui existe, des racines aux rivières et des arbres aux montagnes, en passant par l’être humain.

 

Code temporel 12 : Tout ce dont nous avons besoin pour comprendre l’univers réside dans la simplicité de chacun de ses éléments.

 

Code temporel 13 : Notre connaissance des cycles répétitifs nous permet d’identifier avec précision les périodes futures où nous pouvons nous attendre à voir une répétition des circonstances passées.

 

Code temporel 14 : Le Calculateur de codes temporels peut identifier avec précision des cycles personnels d’amour et de douleur, tout aussi bien que des cycles mondiaux de guerre et de paix.

 

Code temporel 15 : Les modèles identifiés en relation avec une période antérieure de l’histoire ont tendance à se répéter avec une plus grande intensité que dans les situations précédentes.

 

Code temporel 16 : Le recours à un cadre de référence qui tient compte des événements humains, terrestres et célestes nous offre une approche uniforme pour étudier le passé et en retirer une perspective réaliste sur ce qui pourrait se passer en 2012.

 

Code temporel 17 : Aucun indice géologique ne nous donne à penser qu’il y aura une inversion du champ magnétique terrestre peu avant ou peu après l’an 2012.

 

Code temporel 18 : Les données du Code temporel montrent que les circonstances relatives aux événements humains, terrestres et célestes d’aujourd’hui sont sensiblement les mêmes que celles qui existaient durant la période de chacune des deux années de référence dans le passé. En d’autres termes, les changements qui surviennent présentement sont précisément ceux auxquels on pouvait s’attendre pour la fin d’un âge du monde.

 

Code temporel 19 : Les plus grands esprits de notre époque s’entendent pour dire que l’épuisement accéléré des ressources naturelles, la croissance exponentielle de la population mondiale, la pauvreté globale et la compétition pour combler les besoins essentiels de chacun convergent pour former, au cours des années à venir, un véritable goulot d’étranglement.

 

Code temporel 20 : Les résultats de ces recherches sont concluants: le fait de nous concentrer sur le cœur et de vivre dans l’amour aura un effet direct sur la manière dont nous vivrons la période de transition de 2012.

 

Code temporel 21 : Confrontés au plus grand nombre de défis d’envergure mondiale depuis le début de l’histoire connue de l’humanité il y a 5125 ans, nous découvrons aujourd’hui que la clé d’une transition en douceur vers le prochain âge du monde se trouve au cœur même de ce que nous éprouvons collectivement face à ce grand changement.

 

Une occasion ne se présentant que tous les 26.000 ans

  Lorsque l’on demande aux descendants 

des Mayas d’expliquer pourquoi leurs ancêtres sont disparus, ils racontent habituellement une histoire qui relève bien davantage d’un épisode de la série télévisée Stargate que d’un récit autochtone traditionnel. Ils vous parlent d’abord de ces énigmatiques gardiens du temps qui étaient capables d’identifier et de mesurer, il y a plus de mille ans de cela, les grands cycles universels avec une précision inégalée.

Puis, pour une raison connue uniquement de ces anciens scientifiques prophètes, ils ont abandonné pour ne plus jamais y revenir leurs temples, leurs observatoires et leurs pyramides. Aussi mystérieusement qu’ils étaient apparus, ils se sont enfoncés dans la jungle de la péninsule du Yucatan pour retourner là d’où ils étaient venus. Quelle que soit l’importance que l’on puisse accorder à cette civilisation aujourd’hui, il est clair que peu importe qui étaient ces étranges Mayas, ils savaient quelque chose que nous commençons à peine à comprendre aujourd’hui.

 

Ce qui les distingue avant tout, c’est que leurs connaissances allaient bien au-delà de ces quelques mesures précises du temps gravées sur une dalle de pierre ronde. L’élément central de leur sagesse ancestrale qu’ils ne pouvaient pas inscrire sous la forme d’un message hiéroglyphique est justement celui qui donne tout son sens à la fin d’un âge de monde que nous vivons présentement. Puisqu’ils voyaient la Terre comme une sorte de miroir du cosmos, ils percevaient le grand cycle se terminant en 2012 comme la fin d’une période d’incubation, de gestation fractale de Vi la conscience humaine qui est si magnifiquement décrite par des auteurs comme John Major Jenkins et José Argüelles. A l’image de la naissance comme étant la fin d’une grossesse et le début d’une nouvelle vie, les Mayas considéraient notre émergence dans le monde de l’après 2012 comme le commencement d’un nouveau cycle de l’histoire, accompagné de toutes les possibilités favorables décrites dans ce livre… et encore plus.

 

Vu sous cet angle, le solstice d’hiver du 21 décembre 2012 apparaît comme une occasion exceptionnelle de participer à la manifestation collective de notre plus grand potentiel. De tels moments sont très rares, puisque c’est depuis la fin du dernier âge du monde que tout s’est peu à peu conjugué pour le préparer, et que nos lointains descendants devront attendre encore près de 26.000 avant de pouvoir profiter de la même chance que nous.

 

 

  

Code temporel 22 : Le 21 décembre 2012 constitue une occasion exceptionnelle de participer à la manifestation collective de notre plus grand potentiel.

 

Les possibilités qu’offre un tel événement rappellent les anciens récits sur le Jardin d’Éden, un lieu paradisiaque qui rendait jadis possible la manifestation de tout ce qui pouvait combler les humains de bonheur et satisfaire leurs désirs les plus chers. Si l’on en croit le calendrier maya, ainsi que les anciennes légendes et prophéties, c’est justement la manifestation d’une telle possibilité qui nous attend après l’an 2012. Nous allons, semble-t-il, pouvoir créer un second Éden semblable à maints égards au premier.

 

Selon les corrélations que l’on peut établir à partir des récits bibliques, la dernière fois qu’un tel endroit idyllique a existé sur Terre, c’était il y a environ 5.000 ans, soit à la fin du précédent âge du monde. À cette époque, les habitants de la planète disposaient de tout ce dont ils avaient besoin pour mener une existence heureuse et saine sans menace aucune à l’équilibre de la nature. Comme les choix des humains ayant vécu après cette période édénique sont à l’origine des événements déclencheurs à la base de tout ce qui allait survenir au cours du cycle actuel, ce sont eux qui ont mis en branle les forces et les idées ayant, au fil du temps, défini ce que notre monde est devenu aujourd’hui. Certaines, comme les notions de pardon et de paix, nous indiquent ce qu’il est possible de réaliser, alors que d’autres, comme la trahison et la guerre, sont à l’origine de ce qui divise les individus, les familles et les nations.

 

Allant des cycles climatiques à l’équilibre dans les échanges de gaz carbonique entre les milieux marins et l’atmosphère, la nature nous montre qu’un modèle cyclique continuera à se répéter jusqu’à ce qu’un nouveau cycle finisse par le remplacer. Les nombreux changements accompagnant la convergence de multiples cycles qui culminera en 2012 constituent une occasion exceptionnelle d’éliminer tout ce qui ne correspond plus au stade de développement que nous avons atteint. Ce sera également un précieux moment de choix où nous pourrons établir de nouvelles orientations saines et viables pour notre avenir, un avenir qui appartient à nos enfants tout autant qu’à leurs propres descendants.

 

C’est un fait indéniable que tous les défis colossaux qui se dressent devant nous ne peuvent que nous transformer. Saurons-nous reconnaître que les menaces pesant sur notre mode de vie ne sont en réalité que le coup de pouce offert par la nature pour nous inciter à adopter une nouvelle manière d’être ? Confrontés au chaos qui s’empare de notre monde durant son alignement avec le centre de notre galaxie, sommes-nous prêts à recevoir le plus grand cadeau qui soit : la profonde transformation intérieure qui résultera d’une réponse aux défis de la vie fondée sur la coopération et la pratique d’un mode de vie basé sur l’amour ? Quelles instructions laisserons-nous à nos descendants qui vivront au cours du prochain âge du monde, et quels souvenirs conserveront-ils de nous ?

 

Tout au fond de notre cœur, nous savons que nous avons déjà répondu à ces questions. Le temps est venu maintenant de mener une vie conforme à nos choix alors que nous sommes à la veille d’entrer dans un nouvel âge du monde. La table est mise. Le choix nous appartient. Le cosmos attend.

 

Gregg Bradden

 

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Extraits de son livre LE TEMPS FRACTAL – Éditions Ariane, 2010

Merci à Dav – http://dav2012.over-blog.com/

 

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de citer la source)

 

 



26/12/2013

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